« Inscrire le non-consentement dans la loi sur la définition du viol est au mieux inutile, au pire contre-productif »
Définir le viol comme un acte non consenti est une « fausse bonne idée », qui peut vite devenir un piège pour les victimes tout en entérinant une vision patriarcale de la sexualité, estime un collectif d’une vingtaine de responsables d’associations et de députées dans une tribune au « Monde ».
Retrouver la suite de la Tribune sur le site du Monde
Signataires :
Céline Piques, porte-parole d’Osez le Féminisme;
Soumya Bourouaha, députée PCF;
Florence Herouin Liautey, députée PS;
Marietta Karamanli, députée PS;
Emmanuelle Piet, présidente du Collectif féministe contre le viol 4 ;
Marie Recalde, députée PS;
Claudia Rouaux, députée PS;
Isabelle Santiago, députée PS;
Danielle Simonnet, députée Groupe Écologiste et Social;
Céline Thiebault Martinez, députée PS;
Alyssa Ahrabare, Présidente de la Coordination européenne pour le lobby européen des
femmes
Hélène Bidard, élue PCF, Adjointe à la Maire de Paris en charge de l’égalité femmes-
hommes, de la jeunesse et de l’éducation populaire.
Colette Capdevielle, députée PS des Pyrénées Atlantiques;
Paul Christophle, député PS de la Drôme;
Laurence Cohen, sénatrice PCF (2011-2023) du Val de Marne;
Marc Pena, député PS des Bouches du Rhone;
Isabelle Thieuleux, avocate;