La justice et Google doivent empêcher la diffusion des vidéos de viols de l’industrie pornographique.
Le cauchemar vécu par les dizaines de victimes des affaires dites “French Bukkake” et “Jacquie et Michel” n’a pas pris fin avec la mise en examen de certains des violeurs et des proxénètes. Les vidéos de ces viols commis dans le cadre de l’industrie pornographique française circulent encore sur Internet, entraînant une revictimisation sans fin de ces femmes. Google est en capacité d’endiguer cette violence inouïe, mais ne le fait pas. C’est l’objet d’une décision de justice qui sera rendue le 24 octobre.